A l’époque le jeune médecin avait du mal à supporter les traitements basés sur des électrochocs, pratiqués dans les hôpitaux psychiatrique.
Il a donc rapidement cherché une alternative dans ces traitements « barbares ».
Dans un premier temps, il se rapprocha de la pratique de l’hypnose, créant alors le premier département d’hypnose clinique et expérimentale.
Mais ne parvenant pas à en étudier les phénomènes de façon scientifique, il en arrêta rapidement la pratique, tout en conservant son inspiration.
Mais ne parvenant pas à en étudier les phénomènes de façon scientifique, il en arrêta rapidement la pratique.
Il fonda alors sa méthode, au grès de séjour en Orient, afin d’étudier le Yoga, le Bouddhisme Tibétain, le Zen Japonais, s’inspirant alors de ce mélange de pratiques.
A son retour en Europe, de part ses apprentissages et ses recherches notamment en Phénoménologie existentielle (Philosophie qui écarte toute interprétation abstraite pour se limiter à la description et à l’analyse des seuls phénomènes perçus), il continua à agrémenter et à mettre à jour sa méthode.
